Les espaces verts
Les espaces verts à Issy-les-Moulineaux
Avec l’agrandissement du parc de l’Île Saint-Germain et l’ouverture à tous du quartier du Fort et de son verger de 4,4 hectares, la Ville compte en effet aujourd’hui 60 hectares d’espaces verts publics ; en y ajoutant les très nombreux jardins privés et les espaces communs ouverts aux copropriétaires ou résidents (soit 60 hectares d'espaces privés), on arrive, selon le cadastre vert d’Île-de-France, à 119 hectares pour une superficie communale de 425 hectares.
Ce taux de végétation de 28 % est supérieur à celui de villes telles que Levallois Perret (14,5 %), Boulogne Billancourt (19,7 %), Puteaux (21%), Courbevoie (21,5%), Colombes (26,2 %)...
De plus, ces espaces verts sont répartis de telle sorte qu’ils sont rapidement accessibles à tous les Isséens.
Si le sud et l’ouest bénéficient des parcs Rodin, Henri Barbusse, Jean-Paul II et du jardin du Carrousel, le reste de la Ville dispose de plusieurs squares et surtout d’une proximité avec les promenades du bord de Seine et du Parc de l’Île Saint-Germain qui s’étend sur 21,5 hectares.
La ville profite aussi de la proximité avec la forêt de Meudon, le bois de Clamart, et se situe au cœur d'un des principaux poumons verts de l'Ouest Parisien, Grand Paris Seine Ouest comptant 1 165 hectares de parcs et forêts.
Tout comme les massifs fleuris et autres jardinières, ces espaces verts sont traités sans aucun produit phytosanitaire ; grâce à ce traitement écologique, mais grâce aussi à ses trois sites de jardins partagés, ses 22 mâts avec suspensions fleuries, ses plus de 450 jardinières hors-sol, ses près de 7 000 arbres plantés sur le territoire (dont 140 dits remarquables), la commune est confirmée depuis plusieurs années au rang des villes « 3 fleurs » au concours des Villes et villages fleuris.
Le deuxième prix des Villes de Miel obtenu en 2017 lors du Forum de la Biodiversité est aussi une preuve vivante de la bonne santé de notre écosystème.
L'entretien des espaces verts
Les produits phytosanitaires
Comme dans toutes les villes de Grand Paris Seine Ouest, aucun produit chimique n’est utilisé dans les parcs et jardins pour le désherbage et la lutte contre les ravageurs et maladies. Les pieds d’arbre des rues sont ainsi désherbés manuellement à la binette ou au « reciprocator ». Cette débroussailleuse à lame présente l’avantage d’empêcher la dégradation malencontreuse des collets des arbres.
Pour lutter contre les maladies et les ravageurs dans les serres de production, la méthode de la lutte biologique intégrée a été mise en place en 2019 en collaboration avec le fournisseur de la ville. Née de la prise de conscience des effets néfastes des produits chimiques, cette pratique consiste à utiliser des auxiliaires pour défendre les cultures contre les bioagresseurs.
En extérieur, les services luttent notamment contre la pyrale du buis (une chenille) qui a envahi le territoire. Pour éviter d’entretenir les populations de pyrales, les buis sont remplacés par d’autres arbustes à feuilles persistantes.
Les engrais
Les déchets verts produits sont compostés et mis à disposition du service pour amender les massifs.
La gestion de l’eau et l’arrosage
Pour limiter les besoins en eau des végétaux, les massifs d’annuelles sont systématiquement paillés. Une majorité des massifs arbustifs sont recouverts avec du bois raméal fragmenté (BRF) issu des élagages effectués en ville. Dans certains massifs de vivaces, de l’éclat de noyaux de fruits ou des plaquettes de châtaigniers sont également utilisés pour son aspect esthétique.
De même pour les nouveaux aménagements, lorsque l’installation de l’arrosage automatique n’est pas envisageable pour des raisons technique ou financière, des plantes peu gourmandes en eau sont sélectionnées afin de limiter les contraintes d’arrosage.
De nombreux espaces verts sont équipés d’arrosage automatique pour permettre un apport d’eau au meilleur moment. Pour l’arrosage manuel (régie et prestataires), l’eau utilisée provient de la captation des eaux de source du talus Rodin.
Le territoire d’Issy-les Moulineaux est riche de sources naturelles. Une partie de cette eau est captée dans un ouvrage de stockage implanté sous le trottoir. Autrefois déversées à l’égout départemental, ces eaux sont désormais récupérées pour l’arrosage des espaces verts et le lavage des voiries.
Ils travaillent toute l’année à entretenir, fleurir et arroser nos parcs, jardins et espaces verts, quelles que soient les conditions météo. Nos jardiniers, mutualisés avec Grand Paris Seine Ouest (GPSO) rendent notre ville, notre vie, plus belle.
Nous nous donnons rendez-vous à la gloriette du jardin botanique, un accessoire de jardin totalement désuet au charme romantique suranné. Des rosiers grimpants bourgeonnent et des oiseaux piaillent au soleil en ce début d’après-midi de printemps. Nathalie et François-Xavier nous ouvrent les portes des serres voisines et nous racontent leur métier.
« Nous créons les massifs autour d’une plante. À partir de celle-ci nous composons une trame, marions les couleurs et varions les hauteurs. De là se dégage une certaine homogénéité et une esthétique », nous explique Nathalie Carreca, responsable du fleurissement chez GPSO. Pour créer ces parterres, environ 25 000 plantes sont nécessaires chaque année. Celles-ci sont cultivées pour toutes les villes de GPSO dans les serres de Sèvres. Elles grandissent selon deux rythmes : les estivales repiquées au printemps et plantées pour l’été et les bisannuelles semées à l’automne et plantées en hiver. De nombreuses variétés sont cultivées, même si dernièrement les plantes vivaces dominent largement les plantations. S’il existe des serres à Issy, celles-ci ne sont plus utilisées pour faire grandir les plantes mais gardent une fonction de conservation, avec notamment une collection exceptionnelle de cactus.
Un métier qui a changé
Le métier de jardinier a beaucoup évolué. La grande rupture a eu lieu il y a une dizaine d’années avec l’instauration du zéro phyto pour l’ensemble des espaces verts (l’interdiction des désherbants et autres produits chimiques). Ce changement a eu des répercussions importantes dans le choix des essences plantées. « Il y a des plantes que l’on n’utilise plus, raconte Nathalie Carreca. Avant, on plantait beaucoup de rosiers. Mais pour être en pleine forme, il était nécessaire de les traiter deux fois par mois. Seules les variétés anciennes sont moins sensibles aux parasites. On a donc arrêté d’en planter et développé d’autres variétés. Les jardins sont devenus beaucoup plus naturels et, inspirés par les designers végétaux à la mode, nous avons intégré de plus en plus de graminées. »
Les machines ont, elles aussi, évolué et sont maintenant quasiment toutes électriques. La prise en compte des écosystèmes naturels a conduit les jardiniers à être plus vigilants, notamment vis-à-vis de la faune qui habite les espaces verts. On accueille maintenant des abeilles, des abris à hérissons ou encore des hôtels à insectes.
Aujourd’hui, le métier attire moins les jeunes générations. « Il est très important que les anciens puissent transmettre leurs connaissances aux jeunes, note François-Xavier Millais, chef du service parcs et jardins de GPSO. La transmission concerne bien évidemment les compétences du métier sur les plantes, leur culture et leur entretien. Mais au- delà, il s’agit de transmettre des connaissances plus fines, sur notre ville, les lieux plantés et leurs caractéristiques. Tel espace vert est plus à l’ombre ou moins facile à arroser : cela détermine nos choix de plantes et au final la réussite d’un espace. »
Douze jardiniers travaillent aux espaces verts d’Issy-les-Moulineaux. Passionnés par leur métier, ils ont à cœur de partager leur amour des plantes. « Nous avons dernièrement remarqué que des orchidées sauvages avaient élu domicile dans le parc Henri Barbusse. On a mis en place des sangles pour que les tondeuses passent à côté et pour inciter le public à respecter leur pousse. »
Et à profiter de ce cadeau que la nature leur fait.
Les parcs et jardins de la ville
Les parcs et jardins de la ville
En ouvrant de nouveaux parcs, en requalifiant des friches urbaines, en abattant des murs, en plantant des vergers ou des forêts urbaines dans les éco-quartiers, la ville d’Issy-les-Moulineaux n’a cessé de voir sa superficie d’espaces verts augmenter. Lors de sa dernière visite, le jury régional de Villes et Villages Fleuris a renouvelé les “3 fleurs” de la ville et l’a proposée au jury national pour l’obtention d’une quatrième fleur. Petit tour d’horizon de ces coins de verdure immanquables et facilement accessibles.
Jardin de la Cour d’Honneur Roseraie
Au début des années 2000, le site de l’hôpital Corentin Celton a fait l’objet d’une importante restructuration ; outre la modernisation de l’hôpital lui-même, construit sous Napoléon III (ex-hospices des Petits Ménages), et la création de logements, l’opération est marquée par la destruction des interminables murailles qui entouraient le lieu. En 2004, ceci a permis d’ouvrir au public le jardin des Milles Roses (connu aussi sous le nom du jardin de la Cour d’Honneur) entre la rue Guynemer et le Parvis Corentin Celton, autrefois accessible aux seuls patients de l’hôpital ; ce jardin dispose d’une roseraie et d’une aire de jeux, et permet l’accès à la chapelle Saint-Sauveur, elle aussi inaccessible jusqu’alors.
Le jardin dispose de quatre entrées : rue Guynemer, allée des Petits Ménages, allée de la chapelle Saint-Sauveur et parvis Corentin Celton. Accessible par le Tuvim Centre-ville (rue Guynemer ou Corentin-Celton). Ouvert toute l’année de 7h30 à 20h30.
Jardin botanique
Entre le boulevard Rodin et la ligne du RER C, ce parc, ouvert au public en 1990, offre un panorama saisissant sur la vallée de la Seine et l’ouest de Paris. Il comprend différents espaces de nature : un jardin horticole constitué d’un massif de terre de bruyère, d’une roseraie, d’un verger, d’un potager et d’un bassin, une partie gérée de façon écologique et différenciée à travers la présence d’espaces réservés à la biodiversité, de prairies spontanées, d’un rucher et de certains éléments dédiés à la reproduction des espèces. On y trouve aussi quarante parcelles de jardins partagés et un potager solidaire. Il jouxte les serres de cultures du service parcs et jardins de GPSO. Le Jardin botanique a été labellisé Eco-jardin en 2023.
Le parc dispose de trois entrées : boulevard Rodin, chemin des Vignes et chemin des Montquartiers. Accessible par les bus 190 et 123 (en remontant ensuite le chemin des Vignes). Ouvert toute l’année de 8h à 19h.
Jardin japonais du Fort
Accès par la promenade du Verger et par le Tuvim, circuit Epinettes.
Ouvert de 9h à 20h30 de mai à août, de 9h à 19h30 d'avril à septembre et de 9h à 18h30 d'octobre à mars.
Parc Saint Jean-Paul II
En 558, le roi Childebert Ier céda aux moines bénédictins de Saint-Germain-des-Prés une vaste zone de 2 000 à 2 500 hectares, sur la rive gauche de la Seine, couvrant notamment le territoire actuel d’Issy-les-Moulineaux. Le séminaire Saint-Sulpice et ses jardins ont été construits sur cette emprise. En 1975, la ville a signé un bail emphytéotique avec la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice pour faire d’une partie de ces jardins le parc actuel. Site classé aux monuments historiques, le parc dispose cependant d’une aire de jeux, d’un parcours sportif, d’un bassin et de vastes espaces en pelouse permettant les jeux de ballons. Il est surplombé par le parc de l’Abbé Derry, aménagé à la même époque sur un demi-hectare à la place d’un ancien terrain vague, et qui compte un caniparc.
Le parc dispose de deux entrées, rue Minard et dans le parc de l’Abbé Derry (rue de l’Abbé Derry). Accessible par le Tuvim Centre-ville. Ouvert d’avril à septembre de 7h30 à 20h ; d’octobre à mars de 7h30 à 19h.
Parc de l’Abbé Derry
Accès par le Tuvim Centre-ville. 0,57 hectare, espace toujours ouvert au public, près de la Ludothèque, rue de l’Abbé Derry
Espace de détente.
Parc de l’Île Saint-Germain
De gestion départementale, ce parc est le plus vaste de la ville. Ancien terrain militaire, le Schéma Directeur de la Région Île-de-France (SDRIF) de 1965 prévoyait son aménagement en zone portuaire, mais la mobilisation des maires des communes alentour dont Issy et du département des Hauts-de-Seine a empêché le projet de voir le jour. Après l’achat du site par le département, des travaux colossaux y ont été entrepris : 35 bâtiments sont démolis, 45 000 m3 de terre végétale viennent enrichir le sol, et 1 500 arbres et 3 500 arbustes sont plantés. Le parc ouvre au public en 1980 sur 12 hectares, puis sur 8 hectares supplémentaires en 1996, et enfin gagne encore 1,5 hectare avec la destruction d’un parking repositionné sous la ZAC des Bords de Seine. Il s’organise autour d’une succession de pelouses vallonnées et entrecoupées de massifs boisés, et compte de nombreux équipements dont des aires de jeux, deux caniparcs et un poney-club. Depuis 1988, il accueille la Tour aux figures, œuvre monumentale de Jean Dubuffet, qui se dresse à la proue de l’ile.
Le parc dispose de 3 entrées : quai de Stalingrad par la passerelle, pont d’Issy et avenue Jean Monnet. Autorisé aux vélos la semaine. Accessible par les bus 123, 289, 389, 189 et 126 et par le Tuvim Île Saint-Germain. Horaires d’ouverture : janvier 8h à 17h ; février 8h à 18h ; mars* 7h30 à 19h ; avril 7h à 20h30 ; de mai à juillet 7h à 21h ; août 7h à 20h30 ; septembre 7h30 à 20h ; octobre* 8h à 19h ; novembre et décembre 8h à 17h. * L’horaire du mois suivant est applicable à partir du jour de changement d’heure légale.
Parc des Varennes
Accès par le Tuvim Centre-ville. 0,5 hectare entre les rues Ernest Renan, Foucher Lepelletier et villa Marguerite.
Jeux d’enfants
Ouvert :
• du 1er avril au 30 septembre : du lundi au samedi de 7h à 20h, le dimanche et jours fériés de 9h à 20h.
• du 1er octobre au 31 mars : du lundi au samedi de 7h à 19h, le dimanche et jours fériés de 9h à 19h.
Parc de la Ferme
Accès par la rue du Viaduc, allée de la Ferme, place Paul Besnard et par les bus 123, 289 et 389. 0,3 hectare avec aire de jeux pour les enfants.
Ouvert de mai à août inclus: de 8h30 à 20h30; en avril et en septembre de 8h30 à 19h30; d’octobre à mars inclus de 8h30 à 18h30.
Parc de la Résistance
Accès par la rue du docteur Lombard, le centre commercial « Les 3 Moulins » et l’allée Sainte-Lucie et par les bus 123,
289, 389 et TUVIM Île Saint-Germain. 0,65 hectare, aire de jeux d’enfants, ping-pong.
Aire de proximité ouverte du 1er octobre au 31 mars de 8h30 à 18h30, en avril et septembre de 8h30 à 19h30 et du 1er mai au 31 août de 8h30 à 20h30.
Parc de Nahariya
Accès par l’allée de la Pastorale, et le n° 78, rue de l’Égalité ; par le bus 190 et Tuvim Epinettes.
2 800 m², espaces paysagers et de détente, espaces multisports pour tous : 1 terrain multisports, 1 terrain volley synthétique, ping-pong, échecs, 1 pyracorde, 1 aire de jeux pour petite enfance, 1 terrain de pétanque.
Ouvert au public d’avril à septembre de 7h30 à 20h ; d’octobre à mars de 7h30 à 19h.
Parc Henri Barbusse
Plus vieil espace vert de la ville, ce parc s’étend sur une partie du terrain anciennement occupé par le jardin du Château d’Issy. Ce château, situé à l’angle des rues Auguste Gervais et Berthelot, propriété des princes de Conti au 18ème siècle, fut détruit par le feu par les canonniers de la Commune de Paris en 1871. La ville a racheté un lot de cet ancien terrain pour en faire le parc inauguré en 1936. Il compte aujourd’hui deux aires de jeux, une table de Teqball, un théâtre de marionnettes, un kiosque à musique, un jardin partagé et une ferme pédagogique. De l’ancien jardin du château, le bassin, revégétalisé en 2024, a été conservé.
Le parc dispose de 5 entrées : place du 8 mai 1945, rue Robespierre, rue de l’égalité, rue de la défense et rue Henri Tariel. Accessible par le Tuvim Epinettes et les bus 169 et 290. Horaires d’ouverture : mai, juin, juillet, août de 7h30 à 20h30 ; avril et septembre de 7h30 à 19h30 ; octobre, novembre, décembre, janvier, février, mars de 7h30 à 18h30.
Parc Rodin
Seul grand parc non clôturé, il s’étend dans le quartier des Epinettes entre la rue Fragonard, l’impasse des 4 vents et le boulevard Rodin. Il comprend une aire de skate-park, une aire de jeux, un terrain multisports, des espaces boisés et accueille une réplique miniature de la plus grande statue du bouddha assis du monde, offert par la ville jumelle chinoise de Leshan. Accessible par le Tuvim Epinettes et le bus 190.
Square Bonaventure Leca
Accès par les 3 Tuvim, métro Mairie d’Issy et les bus 190, 169, 290, 123 et 323.
0,38 hectare de jardins sur dalles avec espaces de détente.
Square des hirondelles
Ouvert de 8h30 à 20h30
Accès rue de Champ Chardon et quai de la Bataille de Stalingrad
Square du Fort
Allée du puits
Square de Macerata
390 m² accessible par la rue du Gouverneur Général Éboué.
Ouvert du 1er septembre au 30 avril de 8h à 19h30 ; du 1er mai au 31 août de 8h à 21h.
Square de Weiden
Accès par le Tuvim Île Saint-Germain et les bus 123 et 190.
0,2 hectare entre la rue Telles de la Poterie et l’avenue Victor Cresson.
Aire de jeux pour petits enfants, bassin avec animation par jets d’eau.
Square du Capitaine Alfred Dreyfus
Accès par les bus 123, 190, 290, 323, 169 et le métro Mairie d’Issy et par la rue Diderot. 350 m², espace de détente.
Ouvert d’avril à septembre de 9h à 20h30 ; d’octobre à mars inclus de 9h à 19h.
Square Louis Blériot
Accès par les bus 323, 126, 39 et 189 et par les rues Camille Desmoulins, Rouget de Lisle, Maurice Berteaux et Maurice Mallet.
0,2 hectare, 2 aires de jeux pour enfants, espaces de rocailles, promenade à travers les plantations de bambous.
Ouvert du 1er septembre au 30 avril de 9h à 19h ; de mai à août inclus de 9h à 20h30.
Square Alberto Santos-Dumont
Accès par les bus 323, 39, 189, 126, par le boulevard Gallieni et par la rue Rouget de Lisle. 0,13 hectare, espaces de repos, paysagés.
Ouvert d’avril à septembre de 9h à 20h30 et d’octobre à mars inclus de 9h à 19h.
Square Fragonard
Rue de l'Egalité
Ouvert de 7h30 à 19h du 01/10 au 31/03 et de 7h30 à 20h du 01/04 au 30/09.
Les aires de jeux
Aire de jeux Jean Bouin
Accessible par la rue du Bateau-Lavoir et l’avenue Jean Bouin.
Jeux pour les 5 à 12 ans.
Ouverte de 8h à 20h30 du 1 er mai au 31 août et de 8h à 19h du 1er septembre au 30 avril
Aire de jeux du Fort d'Issy
Allée du Puits
Ouverte de 9h à 19h du 01/09 au 30/04 et de 9h00 à 20h30 du 01/05 au 31/08.
Aire de jeux du square Jules Ferry
Accessible par la rue Jules Ferry.
Jeux pour les 3 à 6 ans.
Ouverte de 8h à 20h30 du 1 er mai au 31 août et de 8h à 19h du 1er septembre au 30 avril
Aire de jeux Fragonard
Rue de l'Égalité
Ouverte de 7h30 à 19h du 1er octobre au 31 mars et de 7h30 à 20h du 1er avril au 30 septembre
Aire de jeux rue du Gouverneur Général Éboué
Jeux pour les 1 à 3 ans.
Ouverte de 8h à 19h30 du 1er septembre au 30 avril et de 8h à 21h du 1er mai au 31 août
Aire de jeux du Passeur de Boulogne
Jeux pour les 2 à 6 ans.
Aires de proximité
• Stade Voisin
• Parc Rodin
• Parc de Nahariya
• Parc des Varennes.
Pour les adolescents.
Mail Raymond Menand
Jeux pour les 3 à 8 ans.
Parc Saint Jean-Paul II
Rue Minard
2 aires : 1 à 8 ans et 8 à 15 ans.
Parc de la Ferme (roseraie)
Rue du Viaduc
Jeux pour les 2 à 8 ans.
Parc de la Résistance
Accessible par l’allée Sainte-Lucie et par la rue du Docteur Lombard.
Jeux pour les 2 à 15 ans.
Parc de Nahariya
78, rue de l’Égalité
2 aires : 2 à 6 ans et 5 à 12 ans.
Parc des Varennes
Accessible par la rue Ernest Renan, la villa Marguerite et la rue Foucher Lepelletier.
2 aires : 1 à 4 ans et 4 ans et plus.
Parc Henri Barbusse
Accessible par les rues Henri Tariel, Maximilien Robespierre, de la Défense, de l'Égalité.
2 aires : 2 à 5 ans et 2 à 12 ans.
Parc Rodin
boulevard Rodin
Jeux pour les 1 à 6 ans.
Square Jacques Madaule
Jeux pour les 2 à 6 ans.
Square Chabanne
Île Saint-Germain
Angle allée de Billancourt et Promenade Constant Pape.
Jeux pour les 2 à 6 ans.
Square de Weiden
Angle de l’avenue Victor Cresson et rue Telles de la Poterie
Jeux pour les 6 mois à 5 ans.
Square Fragonard
rue de l’Égalité
Ouvert de 7h30 à 19h du 01/10 au 31/03 et de 7h30 à 20h du 01/04 au 30/09.
Jeux pour les 2 à 6 ans.
Square Jean Monnet
Allée Jean Monnet
Jeux pour les 1 à 6 ans.
Square Louis Blériot
Accessible par la rue Gaston et René Caudron.
Jeux pour les 2 à 6 ans.
Et aussi...
Le quartier du Fort : l’ancien fort militaire, construit au sud de la ville au 19ème siècle pour protéger Paris, a été racheté par la ville pour en faire un éco-quartier livré en 2013 et baptisé naturellement Fort d’Issy. Outre ses logements, ses commerces et ses équipements publics, l’éco-quartier, autrefois entièrement minéral, compte 44 000 m² d'espaces verts plantés de 300 arbres fruitiers dès sa construction. Il héberge aussi le jardin japonais d’Ichikawa (500 m²), aménagé avec les conseils des jardiniers de la ville du même nom, venus livrer les subtilités d’un tel jardin. Du fort originel ont été conservées l’impressionnante entrée de la rue du Fort, ainsi que les courtines (Chemin du Colonel Arnaud Beltrame), végétalisées de toute part et permettant de faire le tour du quartier en longeant notamment les 86 parcelles de jardins partagés.
Les vignes d’Issy Guinguette : dès le Moyen Âge, l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés, dont les terres s’étendaient jusqu’à Issy-les-Moulineaux, encouragea le développement de la vigne, notamment sur les coteaux, et les vignerons formèrent longtemps un groupe important et respecté. Cette époque glorieuse a revu le jour grâce à une petite parcelle de 300 m², donnant chaque année 200 à 300 bouteilles de vin blanc. Les vignes ont été plantées sur une ancienne carrière à ciel ouvert de blanc de Meudon (un calcaire argileux principalement composé de carbonate de calcium et d'argile), datant du 19ème siècle. Si elles sont situées dans l’enceinte d’« Issy Guinguette » (au 113 bis avenue de Verdun, juste à côté du bien-nommé chemin des Vignes), elles sont visibles en semaine lorsque le restaurant est ouvert. La superficie de la parcelle sera prochainement doublée dans le cadre des travaux de la ZAC Léon Blum.
Les berges de la Seine : si la moitié de l’Ile Saint-Germain est couverte par le parc du même nom (voir plus haut), l’autre moitié est habitée. Pour profiter des berges du fleuve, deux promenades ont été aménagées par la ville, permettant de faire le tour de cette partie de l’ile : la promenade Robinson (qui fait face à Boulogne-Billancourt) et la promenade Constant Pape du côté du petit bras de Seine. Le Département pour sa part a aménagé la berge, permettant de longer le fleuve de Meudon jusqu’après le pont d’Issy (tout le long du quai de la Bataille de Stalingrad) et d’admirer au plus près les nombreuses péniches amarrées à cet endroit. La visite peut se faire en vélo car une piste cyclable surplombe cette promenade.